• Le Tombeau des lucioles


    Le Tombeau des lucioles

    Je continue dans cette série du tombeau des lucioles!

     

    Fiche Technique

    Le Tombeau des lucioles
    Titre original Hotaru no haka
    Réalisation Isao Takahata
    Scénario Roman : Akiyuki Nosaka
    adaptation : Isao Takahata
    Photographie Nobuo Koyama
    Production Toru Hara
    Société de distribution Tōhō
    Durée 88 min.
    Sortie Japon 16 avril 1988
    Langue(s) originale(s) japonais
    Pays d'origine Japon


    Le Tombeau des lucioles  Hotaru no Haka) est un film d'animation japonais (anime) de Isao Takahata du Studio Ghibli sorti en 1988. Il est adapté d'une nouvelle semi-autobiographique, la Tombe des lucioles, écrite en 1967 par Akiyuki Nosaka dont la sœur mourut de malnutrition pendant la guerre.

    Il est d'une intensité remarquable en raison de l'association d'une poésie efficace avec l'atrocité sans concession de l'enfance face à la guerre. Malgré une sortie presque inaperçue en France en 1996, ce film a néanmoins connu un certain succès auprès d'un public connaisseur.


    Synopsis
    Durant l'été 1945, dans le Japon de la Seconde Guerre mondiale, deux enfants, Seita (un adolescent de quatorze ans) et sa jeune sœur Setsuko (qui a quatre ans), se trouvent livrés à eux-mêmes après la mort de leur mère, suite au bombardement à la bombe incendiaire de Kōbe par les forces armées américaines. Après avoir vainement tenté de contacter leur père, un officier supérieur de la Marine impériale japonaise, Seita et Setsuko partent habiter chez une tante éloignée. Un temps accueillante, cette femme aux valeurs traditionalistes exerce un poids moral croissant sur les deux enfants. Avec la pénurie, Seita et Setsuko deviennent à ses yeux un fardeau. Aussi, Seita et Setsuko partent et se réfugient dans un abri désaffecté. Celui-ci est illuminé la nuit par des milliers de lucioles. Les problèmes s'enchaînent : la nourriture vient à manquer et Setsuko tombe malade. Seita se met alors à voler de la nourriture.
     

    Avis perso

    . Un chef d’œuvre à ne pas regarder si vous avez le cafard !